1. Le transport actif, la solution pratique et passe-partout
Mine de rien, si un enfant enfourche son vélo ou marche vers l’école, il accumule au moins une trentaine de minutes actives (ou plus, selon le trajet). Et il n’y a rien de plus efficace pour rester constant qu’une habitude ancrée dans son quotidien. En plus des bienfaits physiques, les déplacements actifs apportent aux enfants une meilleure connexion à leur environnement de vie et un sentiment d’indépendance qui gonfle leur confiance en soi.
« L’enfant n’a pas besoin d’être encadré et de pratiquer un sport pour bouger. »
2. Une nature clé en main et ses mille options pour bouger
Les espaces naturels (et les espaces publics bien aménagés pour les enfants) sont des invitations aux mouvements et aux jeux actifs. Au lieu d’amener son enfant non sportif sur un terrain de soccer, privilégions un pique-nique dans un grand parc naturel, une randonnée en montagne ou une nuit en camping. Gageons que notre enfant utilisera ce nouvel environnement pour des scénarios de jeux complexes… et actifs!
3. Des activités pratiques… et physiques!
L’appât des points et des chronos, ce n’est pas pour tout le monde! Mais tout le monde a une série de tâches à accomplir… On peut ainsi faire d’une pierre deux coups en confiant des tâches plus actives à notre enfant qu’on craint être trop sédentaire. Ratisser des feuilles, déneiger une entrée, entretenir le jardin, laver les fenêtres, faire des achats (à vélo!), etc. Évidemment, on choisit des activités adaptées à son âge et à ses capacités.
4. La curiosité (et la créativité) fait bouger le monde!
Un enfant passionné par les roches traversera mers et mondes (ou presque!) pour dénicher de nouvelles recrues dans sa collection. Même chose pour un enfant qui adore les insectes ou pour un autre qui s’intéresse aux feuilles! Une âme plus artiste que scientifique cherchera à récolter du matériel naturel varié pour son prochain projet créatif. Plusieurs activités en plein air peuvent être très éducatives. Dans tous les cas, on a un enfant qui se promène, s’accroupit, manipule… un enfant qui bouge, quoi!
5. Le jeu libre — et social: ça bouge!
Qui bouge le plus entre un enfant qui participe à un cours de natation et un autre qui se baigne avec ses amis? Entre un enfant qui joue au parc et un enfant dans un atelier moteur? La réponse est un peu ennuyante : ça dépend de l’enfant. Qu’on se pose, la question est toutefois évocateur. L’enfant n’a pas besoin d’être encadré pour bouger. Encore mieux, un enfant non encadré qui se retrouve dans un endroit où il y a de l’espace, un ou des amis, et un peu de matériel (des bâtons, ça compte!) risque de bouger plus que l’on peut penser. La pratique sportive, ce n’est pas tout!
6. De nouveaux joujoux pour bouger
C’est vrai que les enfants n’ont pas toujours besoin de grand-chose pour s’amuser, mais du nouveau matériel peut être un facteur motivant pour bouger! On connaît tous l’impact d’une nouvelle trottinette chez un enfant… Disons que ça va trottiner beaucoup pendant au moins quelques jours! Du matériel plus simple (et plus abordable) peut aussi faire du millage : des anneaux fixés à une branche d’arbre, une corde à danser double, des fusils à eau, des balles pour jongler, une poutre… et pourquoi pas des boîtes qui prendront le chemin du recyclage plus tard en semaine! Tout ça peut nourrir de nouvelles idées de jeux extérieurs par le biais desquels l’enfant joue « activement ». Faire une cabane de boîtes comme un refuge contre l’invasion d’extra-terrestres, c’est gagnant!
Mon enfant n’est pas sportif: comment lui transmettre le plaisir de bouger autrement
Consacrer une heure d’activité physique d’intensité modérée à élevée tous les jours, c’est simple lorsqu’on a un enfant passionné de soccer. Autrement, ces 60 minutes peuvent paraître bien longues… Voici quelques pistes pour faire bouger — sans rebuter — un enfant qui n’est pas porté vers les sports.
1. Le transport actif, la solution pratique et passe-partout
Mine de rien, si un enfant enfourche son vélo ou marche vers l’école, il accumule au moins une trentaine de minutes actives (ou plus, selon le trajet). Et il n’y a rien de plus efficace pour rester constant qu’une habitude ancrée dans son quotidien. En plus des bienfaits physiques, les déplacements actifs apportent aux enfants une meilleure connexion à leur environnement de vie et un sentiment d’indépendance qui gonfle leur confiance en soi.
2. Une nature clé en main et ses mille options pour bouger
Les espaces naturels (et les espaces publics bien aménagés pour les enfants) sont des invitations aux mouvements et aux jeux actifs. Au lieu d’amener son enfant non sportif sur un terrain de soccer, privilégions un pique-nique dans un grand parc naturel, une randonnée en montagne ou une nuit en camping. Gageons que notre enfant utilisera ce nouvel environnement pour des scénarios de jeux complexes… et actifs!
3. Des activités pratiques… et physiques!
L’appât des points et des chronos, ce n’est pas pour tout le monde! Mais tout le monde a une série de tâches à accomplir… On peut ainsi faire d’une pierre deux coups en confiant des tâches plus actives à notre enfant qu’on craint être trop sédentaire. Ratisser des feuilles, déneiger une entrée, entretenir le jardin, laver les fenêtres, faire des achats (à vélo!), etc. Évidemment, on choisit des activités adaptées à son âge et à ses capacités.
4. La curiosité (et la créativité) fait bouger le monde!
Un enfant passionné par les roches traversera mers et mondes (ou presque!) pour dénicher de nouvelles recrues dans sa collection. Même chose pour un enfant qui adore les insectes ou pour un autre qui s’intéresse aux feuilles! Une âme plus artiste que scientifique cherchera à récolter du matériel naturel varié pour son prochain projet créatif. Plusieurs activités en plein air peuvent être très éducatives. Dans tous les cas, on a un enfant qui se promène, s’accroupit, manipule… un enfant qui bouge, quoi!
5. Le jeu libre — et social: ça bouge!
Qui bouge le plus entre un enfant qui participe à un cours de natation et un autre qui se baigne avec ses amis? Entre un enfant qui joue au parc et un enfant dans un atelier moteur? La réponse est un peu ennuyante : ça dépend de l’enfant. Qu’on se pose, la question est toutefois évocateur. L’enfant n’a pas besoin d’être encadré pour bouger. Encore mieux, un enfant non encadré qui se retrouve dans un endroit où il y a de l’espace, un ou des amis, et un peu de matériel (des bâtons, ça compte!) risque de bouger plus que l’on peut penser. La pratique sportive, ce n’est pas tout!
6. De nouveaux joujoux pour bouger
C’est vrai que les enfants n’ont pas toujours besoin de grand-chose pour s’amuser, mais du nouveau matériel peut être un facteur motivant pour bouger! On connaît tous l’impact d’une nouvelle trottinette chez un enfant… Disons que ça va trottiner beaucoup pendant au moins quelques jours! Du matériel plus simple (et plus abordable) peut aussi faire du millage : des anneaux fixés à une branche d’arbre, une corde à danser double, des fusils à eau, des balles pour jongler, une poutre… et pourquoi pas des boîtes qui prendront le chemin du recyclage plus tard en semaine! Tout ça peut nourrir de nouvelles idées de jeux extérieurs par le biais desquels l’enfant joue « activement ». Faire une cabane de boîtes comme un refuge contre l’invasion d’extra-terrestres, c’est gagnant!
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