Comme parent, est-il possible de parvenir à mousser la motivation de ses enfants? C’est sur cette question que s’est penchée l’étude MATCH (Monitoring Activities of Teenagers to Comprehend their Habits) menée par des chercheurs québécois. Ces derniers sont parvenus à dégager quelques freins à la motivation et quelques trucs pour les contrer.
Identifier les freins à la pratique du sport
Pour commencer, rappelons-nous que la motivation, c’est ce qui nous pousse à nous lancer dans une activité et qui détermine la façon de s’engager dans celle-ci (avec intensité ou pas, brièvement ou longtemps, etc.). Quand il s’agit de sport, deux types de barrières peuvent contrecarrer cet élan :
Les obstacles externes réfèrent à des circonstances précises : ne pas avoir le budget ou l’équipement requis pour participer à une activité, ne pas avoir accès aux infrastructures nécessaires, être blessé, etc.
Les obstacles internes sont liés aux perceptions, sentiments et attitudes qu’ont les enfants envers une activité. Ce sont les : « j’aime pas ça », « je ne suis pas capable », « ça me tente pas ».
Le rôle des parents dans la motivation des enfants
L’étude souligne que les enfants sont davantage susceptibles de participer à une activité quand ils ont confiance en leurs capacités, quand le sport et les activités physiques sont perçus comme une source de plaisir.
Les parents ont un rôle important à jouer sur ces plans. Voici comment :
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- Être des modèles en ayant un mode de vie actif et en faisant preuve de curiosité à essayer de nouvelles activités.
- Assister aux pratiques sportives des enfants et en discuter avec eux de manière bienveillante (pas de reproche s’ils n’ont pas offert de performance à tout casser).
- Faire prendre conscience aux enfants des avantages de l’activité physique, et plus largement d’un mode de vie sain, sur la santé physique et psychologique.
- Apporter le soutien nécessaire à la pratique des activités (aller reconduire les enfants, leur fournir l’équipement adéquat, etc.).
- Aider l’enfant à exprimer les difficultés ou les appréhensions qu’il rencontre à l’égard des activités sportives et développer avec lui des stratégies pour améliorer la situation.
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Comment motiver les enfants à bouger
Votre enfant souhaite cesser pour de bon les cours de natation qui le passionnaient pourtant depuis plusieurs années? Il refuse d’essayer de nouveaux sports? La balade en vélo que vous lui proposez ne lui dit rien qui vaille? Voici quelques trucs pour lui donner le goût de se remettre en action.
Comme parent, est-il possible de parvenir à mousser la motivation de ses enfants? C’est sur cette question que s’est penchée l’étude MATCH (Monitoring Activities of Teenagers to Comprehend their Habits) menée par des chercheurs québécois. Ces derniers sont parvenus à dégager quelques freins à la motivation et quelques trucs pour les contrer.
Identifier les freins à la pratique du sport
Pour commencer, rappelons-nous que la motivation, c’est ce qui nous pousse à nous lancer dans une activité et qui détermine la façon de s’engager dans celle-ci (avec intensité ou pas, brièvement ou longtemps, etc.). Quand il s’agit de sport, deux types de barrières peuvent contrecarrer cet élan :
Les obstacles externes réfèrent à des circonstances précises : ne pas avoir le budget ou l’équipement requis pour participer à une activité, ne pas avoir accès aux infrastructures nécessaires, être blessé, etc.
Les obstacles internes sont liés aux perceptions, sentiments et attitudes qu’ont les enfants envers une activité. Ce sont les : « j’aime pas ça », « je ne suis pas capable », « ça me tente pas ».
Le rôle des parents dans la motivation des enfants
L’étude souligne que les enfants sont davantage susceptibles de participer à une activité quand ils ont confiance en leurs capacités, quand le sport et les activités physiques sont perçus comme une source de plaisir.
Les parents ont un rôle important à jouer sur ces plans. Voici comment :
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