1. Toujours rester sur le sentier.
On ne sort pas des sentiers. Même si on doit céder le passage à un autre randonneur. Même si une mare d’eau boueuse obstrue le chemin. Même si s’étirer le cou ne permet pas de bien apprécier le point de vue. Chaque personne qui marche « juste un peu à côté du sentier » pour des raisons qu’elle considère valides détériore l’état du sentier et tue la nature fragile qui le longeait. Concrètement, cela peut vouloir dire profiter du sentier à des heures moins achalandées ou reporter sa visite si ses chaussures ne peuvent pas supporter un peu d’eau ou de boue.
2. Ne rien jeter ou laisser dans la nature.
Si la poubelle est trop pleine, on rapporte nos déchets au lieu de les laisser « juste à côté ». Si on a fini notre pomme, on ne lance pas le cœur de pomme dans la forêt « parce qu’un animal va le manger » ou « que c’est biodégradable ». D’abord, un aliment ne s’évapore pas en quelques minutes. Ensuite, ce déchet alimentaire peut introduire des espèces végétales étrangères indésirables (un potentiel pommier, dans ce cas-ci) ou nuire à la santé des espèces animales qui fréquentent le parc. Un pépin de pomme, ça peut devenir un pépin de santé important! Dans la pratique, on se simplifie la vie en choisissant des collations sans déchets…ou bien on traîne notre poubelle!
3. Penser à toutes les sortes de pollution.
La pollution sonore non seulement compromet l’expérience des autres visiteurs, mais elle peut aussi créer un stress important à la faune environnante. En ce sens, on évite de crier pour un tout ou pour un rien et, si notre chien est du voyage, on s’assure qu’il ne jappe pas en continu.
De la même façon, on n’oublie pas que tout ce qui se nettoie à l’eau ne disparaît pas comme par magie. Ça se retrouve…dans l’eau. Attention à la vaisselle souillée dans la rivière, les trois couches d’huile DEET contre les insectes à chaque baignade dans le lac…Ne pas laisser de traces visibles est important, mais pas suffisant!
On peut sensibiliser les enfants au respect de la nature et dès leur plus jeune âge.
Cet été, n’oublions pas que lorsqu’on « visite » des espaces naturels et des sites de plein air (parcs régionaux, provinciaux ou nationaux), on devrait avoir un comportement irréprochable…comme en visite! On suit les consignes, et on ne s’invite pas plus que l’on devrait (par exemple, à coucher! Interdiction de camper sans autorisation).
Pour camper en toute légitimité, nous vous proposons plusieurs options intéressantes.
Connaissez-vous le programme Sans trace?
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| Sans trace est un programme national et international conçu pour aider les adeptes de plein air à réduire leur impact lors de la pratique de randonnée pédestre, raquette, course à pied, vélo, canot, équitation, ski, escalade… Et aussi en camping ou en pique-nique! À vous de jouer. |
Sans trace en randonnée pédestre : comment profiter de la nature sans l’abîmer?
Récemment, les parcs-nature ont été pris d’assaut par de nombreux visiteurs, et leur passage n’est (malheureusement) pas passé inaperçu. De petits oublis ou des raccourcis une personne à la fois, à la centaine, et on se retrouve avec un fouillis pas possible dont personne n’est fier. Voici trois précautions à prendre pour profiter de la nature sans l’abîmer.
1. Toujours rester sur le sentier.
On ne sort pas des sentiers. Même si on doit céder le passage à un autre randonneur. Même si une mare d’eau boueuse obstrue le chemin. Même si s’étirer le cou ne permet pas de bien apprécier le point de vue. Chaque personne qui marche « juste un peu à côté du sentier » pour des raisons qu’elle considère valides détériore l’état du sentier et tue la nature fragile qui le longeait. Concrètement, cela peut vouloir dire profiter du sentier à des heures moins achalandées ou reporter sa visite si ses chaussures ne peuvent pas supporter un peu d’eau ou de boue.
2. Ne rien jeter ou laisser dans la nature.
Si la poubelle est trop pleine, on rapporte nos déchets au lieu de les laisser « juste à côté ». Si on a fini notre pomme, on ne lance pas le cœur de pomme dans la forêt « parce qu’un animal va le manger » ou « que c’est biodégradable ». D’abord, un aliment ne s’évapore pas en quelques minutes. Ensuite, ce déchet alimentaire peut introduire des espèces végétales étrangères indésirables (un potentiel pommier, dans ce cas-ci) ou nuire à la santé des espèces animales qui fréquentent le parc. Un pépin de pomme, ça peut devenir un pépin de santé important! Dans la pratique, on se simplifie la vie en choisissant des collations sans déchets…ou bien on traîne notre poubelle!
3. Penser à toutes les sortes de pollution.
La pollution sonore non seulement compromet l’expérience des autres visiteurs, mais elle peut aussi créer un stress important à la faune environnante. En ce sens, on évite de crier pour un tout ou pour un rien et, si notre chien est du voyage, on s’assure qu’il ne jappe pas en continu.
De la même façon, on n’oublie pas que tout ce qui se nettoie à l’eau ne disparaît pas comme par magie. Ça se retrouve…dans l’eau. Attention à la vaisselle souillée dans la rivière, les trois couches d’huile DEET contre les insectes à chaque baignade dans le lac…Ne pas laisser de traces visibles est important, mais pas suffisant!
On peut sensibiliser les enfants au respect de la nature et dès leur plus jeune âge.
Cet été, n’oublions pas que lorsqu’on « visite » des espaces naturels et des sites de plein air (parcs régionaux, provinciaux ou nationaux), on devrait avoir un comportement irréprochable…comme en visite! On suit les consignes, et on ne s’invite pas plus que l’on devrait (par exemple, à coucher! Interdiction de camper sans autorisation).
Pour camper en toute légitimité, nous vous proposons plusieurs options intéressantes.
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