Lunchs et repas
À partir d’environ 8 ans, les enfants devraient être en mesure de relativement bien se débrouiller en cuisine. La préparation de leur déjeuner peut très bien leur revenir, ainsi que la confection de repas simples. Un soir par semaine, confiez-leur la responsabilité du souper (et n’en faites pas de cas s’ils vous servent des pâtes chaque fois!). Le principal défi pour vos cuistots en herbe consistera sans doute à ranger et nettoyer les surfaces de comptoirs après l’exécution de leur recette.
Mandatez-les aussi pour la planification et confection de leurs lunchs. Ils pourraient dans un premier temps être responsables de tout ce qui accompagne le plat principal : vous préparez les sandwichs, mais il est de leur ressort de s’assurer que des crudités, des breuvages et des desserts figurent aussi au menu.
Demandez-leur enfin de prendre part à la planification des menus hebdomadaires : laissez à leur disposition des livres de recettes misant sur les repas simples et des idées pour la boîte à lunch (comme C’est l’heure du lunch et Les lunchs). Chaque semaine, incitez-les à fouiller dans ces livres pour dresser la liste de ce qu’ils auraient envie de manger dans la semaine. À partir de ces idées, ils pourront vous aider à établir la liste d’épicerie et à faire les emplettes.
Opération ménage
Aspirateur, époussetage, nettoyage des fenêtres et des miroirs : bloquer une plage horaire, un soir de semaine ou la fin de semaine, pour s’attaquer en famille au nettoyage de la maison. Vos enfants préfèrent-ils toujours être responsables de la même opération ou changer de semaine en semaine? Dans ce dernier cas, établissez un calendrier pour les choses soient claires et que tout le monde sache à quoi s’en tenir.
Pour la motivation des troupes : mettez de la musique entraînante qui fait l’unanimité, réglez la minuterie : à go, on s’y met tous et en 30 minutes top chrono les tâches sont réalisées! Cette stratégie peut aussi être mise de l’avant à la fin de chaque journée pour le rangement général de la maison : on se donne 15 minutes pour effectuer un scan de chaque pièce et les remettre en ordre. Peu à peu, les réflexes seront acquis et ils poseront les bons gestes sans même y réfléchir.
Viser l’autonomie
Nourrir les animaux, arroser les plantes, sortir le bac de recyclage : voilà des corvées que les enfants peuvent facilement exécuter. La principale difficulté consiste pour eux à se souvenir de le faire semaine après semaine. Parce que non, vous n’êtes pas condamnés à répéter ad vitam aeternam les mêmes consignes. Ils doivent pouvoir passer à l’action par eux-mêmes.
Vous pourriez afficher un tableau de rappels où l’enfant peut cocher une case une fois que la tâche est réalisée. Faut-il récompenser ou non le fait de participer à la vie quotidienne de la maisonnée? Si certains parents choisissent d’en faire une condition pour l’obtention de certains privilèges (allocations ou temps d’écran, par exemple), d’autres sont plus réticents à cette idée. À vous de voir ce qui peut inciter vos enfants à s’impliquer, selon leur tempérament.
Comment impliquer les enfants dans les tâches quotidiennes
Vos enfants ont grandi et font (enfin!) bon usage du panier de linge sale, sont capables de remplir et vider le lave-vaisselle et prendre leur douche sans supervision? Ils font même parfois leur lit? Il est donc temps de passer à la prochaine étape et de leur confier d’autres missions.
Lunchs et repas
À partir d’environ 8 ans, les enfants devraient être en mesure de relativement bien se débrouiller en cuisine. La préparation de leur déjeuner peut très bien leur revenir, ainsi que la confection de repas simples. Un soir par semaine, confiez-leur la responsabilité du souper (et n’en faites pas de cas s’ils vous servent des pâtes chaque fois!). Le principal défi pour vos cuistots en herbe consistera sans doute à ranger et nettoyer les surfaces de comptoirs après l’exécution de leur recette.
Mandatez-les aussi pour la planification et confection de leurs lunchs. Ils pourraient dans un premier temps être responsables de tout ce qui accompagne le plat principal : vous préparez les sandwichs, mais il est de leur ressort de s’assurer que des crudités, des breuvages et des desserts figurent aussi au menu.
Demandez-leur enfin de prendre part à la planification des menus hebdomadaires : laissez à leur disposition des livres de recettes misant sur les repas simples et des idées pour la boîte à lunch (comme C’est l’heure du lunch et Les lunchs). Chaque semaine, incitez-les à fouiller dans ces livres pour dresser la liste de ce qu’ils auraient envie de manger dans la semaine. À partir de ces idées, ils pourront vous aider à établir la liste d’épicerie et à faire les emplettes.
Opération ménage
Aspirateur, époussetage, nettoyage des fenêtres et des miroirs : bloquer une plage horaire, un soir de semaine ou la fin de semaine, pour s’attaquer en famille au nettoyage de la maison. Vos enfants préfèrent-ils toujours être responsables de la même opération ou changer de semaine en semaine? Dans ce dernier cas, établissez un calendrier pour les choses soient claires et que tout le monde sache à quoi s’en tenir.
Pour la motivation des troupes : mettez de la musique entraînante qui fait l’unanimité, réglez la minuterie : à go, on s’y met tous et en 30 minutes top chrono les tâches sont réalisées! Cette stratégie peut aussi être mise de l’avant à la fin de chaque journée pour le rangement général de la maison : on se donne 15 minutes pour effectuer un scan de chaque pièce et les remettre en ordre. Peu à peu, les réflexes seront acquis et ils poseront les bons gestes sans même y réfléchir.
Viser l’autonomie
Nourrir les animaux, arroser les plantes, sortir le bac de recyclage : voilà des corvées que les enfants peuvent facilement exécuter. La principale difficulté consiste pour eux à se souvenir de le faire semaine après semaine. Parce que non, vous n’êtes pas condamnés à répéter ad vitam aeternam les mêmes consignes. Ils doivent pouvoir passer à l’action par eux-mêmes.
Vous pourriez afficher un tableau de rappels où l’enfant peut cocher une case une fois que la tâche est réalisée. Faut-il récompenser ou non le fait de participer à la vie quotidienne de la maisonnée? Si certains parents choisissent d’en faire une condition pour l’obtention de certains privilèges (allocations ou temps d’écran, par exemple), d’autres sont plus réticents à cette idée. À vous de voir ce qui peut inciter vos enfants à s’impliquer, selon leur tempérament.
Abonnez-vous