Le meilleur conseil pour s’améliorer est de s’inscrire dans un club de tennis de table. « Jouer avec des meilleurs que soi est une bonne façon d’apprendre plus vite! » confie William, pour qui le tennis de table est bien plus que du ping-pong de sous-sol!
Afin de peaufiner sa technique un maximum, on peut aussi s’inscrire à des cours, s’entraîner plusieurs heures par semaine, et participer à des tournois pour accumuler des points de classement, selon les résultats obtenus. « On appelle ça “monter dans sa cote”, explique le pongiste médaillé. Plus la cote est élevée, plus les joueurs sont forts. »
Le jeune pongiste William Lacroix.
Crédit photo: Marie-Josée Bougie
À quel rythme?
Si un amateur de ping-pong désire vraiment s’améliorer, il s’inscrira dans un club qui allie la pratique à la théorie, au moins trois ou quatre fois par semaine, à raison de six à dix heures en tout. C’est le rythme que s’est imposé le jeune pongiste de Laval, qui respecte assidument cet horaire : il adore aller s’entraîner!
Cet entraînement ne se fait jamais au détriment de ses études, parce que ses parents accordent la priorité aux devoirs, qu’il fait en rentrant de l’école. Il soupe à 17 h et va, par la suite, à son club. L’hiver, il fait du ski en famille, alors il s’entraîne au tennis de table le samedi ou le dimanche, et skie l’autre journée. Les séances de deux heures commencent par un bon échauffement : course autour du gymnase, étirements, 200 sauts à la corde…
Quel club choisir?
« Le Club Réflexe de Laval, situé au collège Letendre, est un des deux plus importants au Québec, avec le Club Prestige de Montréal, déclare Richard Lacroix, père de William. Il y a aussi de plus petits clubs en région. » Le collège Letendre consacre trois étages pour le tennis de table et est un important centre de compétition. Une fois par mois, des pongistes de partout au Québec viennent passer la fin de semaine – ils couchent sur place, dans des salles de classe, au coût de 5 $ la nuit – pour participer à des tournois grâce auxquels ils accumulent des points pour leur cote.
Comme William joue au baseball l’été, il ne fréquente pas son club de tennis de table de mai à septembre. Rien ne l’empêche de garder la main, puisqu’il a une table de ping-pong chez lui.
Son ultime conseil pour devenir un as en la matière? Posséder un « Robo Pong », une machine qui lui permet de s’exercer tout seul, en programmant la vitesse et la fréquence des balles qui le bombardent… aiguisant ainsi ses réflexes et ses mouvements!
Ressources
Pour vérifier s’il existe un club dans votre région, consultez le site de la Fédération de tennis de table du Québec.
Comment devenir un bon joueur de tennis de table?
Le jeune William Lacroix, 12 ans, est un pongiste assidu et médaillé. Il nous dévoile ses astuces pour devenir un bon joueur de tennis de table.
Le meilleur conseil pour s’améliorer est de s’inscrire dans un club de tennis de table. « Jouer avec des meilleurs que soi est une bonne façon d’apprendre plus vite! » confie William, pour qui le tennis de table est bien plus que du ping-pong de sous-sol!
Afin de peaufiner sa technique un maximum, on peut aussi s’inscrire à des cours, s’entraîner plusieurs heures par semaine, et participer à des tournois pour accumuler des points de classement, selon les résultats obtenus. « On appelle ça “monter dans sa cote”, explique le pongiste médaillé. Plus la cote est élevée, plus les joueurs sont forts. »
À quel rythme?
Si un amateur de ping-pong désire vraiment s’améliorer, il s’inscrira dans un club qui allie la pratique à la théorie, au moins trois ou quatre fois par semaine, à raison de six à dix heures en tout. C’est le rythme que s’est imposé le jeune pongiste de Laval, qui respecte assidument cet horaire : il adore aller s’entraîner!
Cet entraînement ne se fait jamais au détriment de ses études, parce que ses parents accordent la priorité aux devoirs, qu’il fait en rentrant de l’école. Il soupe à 17 h et va, par la suite, à son club. L’hiver, il fait du ski en famille, alors il s’entraîne au tennis de table le samedi ou le dimanche, et skie l’autre journée. Les séances de deux heures commencent par un bon échauffement : course autour du gymnase, étirements, 200 sauts à la corde…
Quel club choisir?
« Le Club Réflexe de Laval, situé au collège Letendre, est un des deux plus importants au Québec, avec le Club Prestige de Montréal, déclare Richard Lacroix, père de William. Il y a aussi de plus petits clubs en région. » Le collège Letendre consacre trois étages pour le tennis de table et est un important centre de compétition. Une fois par mois, des pongistes de partout au Québec viennent passer la fin de semaine – ils couchent sur place, dans des salles de classe, au coût de 5 $ la nuit – pour participer à des tournois grâce auxquels ils accumulent des points pour leur cote.
Comme William joue au baseball l’été, il ne fréquente pas son club de tennis de table de mai à septembre. Rien ne l’empêche de garder la main, puisqu’il a une table de ping-pong chez lui.
Son ultime conseil pour devenir un as en la matière? Posséder un « Robo Pong », une machine qui lui permet de s’exercer tout seul, en programmant la vitesse et la fréquence des balles qui le bombardent… aiguisant ainsi ses réflexes et ses mouvements!
Ressources
Pour vérifier s’il existe un club dans votre région, consultez le site de la Fédération de tennis de table du Québec.
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